Violence1er mai : des nervis d’extrême droite agressent un militant de la CGT 93

De la jeunesse, des chants revendicatifs, de la joie pour un monde de paix, des travailleuses et des travailleurs mobilisé·es en masse, ce premier mai à Paris aura été un franc succès.
Un souffle populaire, intergénérationnel pour refuser ce glissement du monde vers les guerres, redire notre détermination à défendre et développer nos conquis sociaux et adresser un message de combativité contre les politiques d’austérité, inégalitaire et xénophobe de Macron et Retailleau.
En marge de la manifestation aux abords de la place de la Bastille, des nervis d’extrême droite, se présentant comme étant du GUD, ont filmé leur agression contre un militant de la CGT 93. Notre camarade s’en tire avec quelques contusions et un t-shirt arraché.
Cette nouvelle agression en pleine rue au cœur de l’après-midi, démontre le sentiment d’impunité qui règne chez les groupes violents d’extrême droite. À Albi, Paris et ailleurs, la haine des forces brunes est de plus en plus décomplexée.
Le verbe d’extrême droite de Retailleau, ses attaques contre une association antifasciste, La Jeune Garde, ne cessent de désinhiber la violence des nervis fascistes. L’heure est à la vigilance et la riposte. Avec nos tracts, nos slogans, notre force militante, nous ne cesserons de lutter contre tous les fachos !

Bobigny, le 1er mai 2025